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[Atropos - Auguste Lestrange] Without dignity, identity is erased | Auguste Lestrange

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Camp perso : Camp perso
La nature du sang : Sang pur
Messages : 25


Non maj
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Camp perso : Camp perso
La nature du sang : Sang pur
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Revelio
Auguste Lestrange
TW : Classisme - Guerre (mention) - Tentative de meurtre (mention) - Esclavage (mention) - Marriage arrangé (mention) - Décès (mention)
Nom
Les critiques ,drapés de leurs vertus conformistes, voient en eux l’opportunisme de quelques charognards faisant bombance sur les restes encore tièdes des plus malchanceux, tandis que les plus désabusés ne perçoivent, dans leur élévation sociale, que la résultante de combats savamment choisis, menés avec prudence et discernement, agréant au principe même qu’aucun acte en ce monde ne peut bénéficier à tous. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, comme en va le dicton populaire. Les Lestrange se sont donné les moyens de leurs ambitions, récompensés pour leurs résultats avant tout. Une leçon qu’on ne manquât pas de lui enseigner très tôt. Les états d’âme des perdants ne comptent pas.

   
Prénom
Gloriole assumée par un patriarche à la fierté comblée, qui ne sait décidément plus où donner de la tête, attentes filiales comblées par un second héritier. Là où son aîné est humblement baptisé roi de tous, on dédie au cadet l’immensité du prestige romain. Auguste, premier empereur, en homonyme à la célébrité clinquante. Philippe pour deuxième prénom, velléités patriciennes d’une mère, sonorités se mariant les unes aux autres, soucis du détail, du ‘en rira-t-on’. Une compulsion maniaque qu’il laissa pour un temps derrière lui, embarqué en mer, il s’offre les joies du désintérêt d’autrui, de l’apathie pour toute chose mondaine, se fait appeler Dmitriy, ou simplement Dima. A croire que même lorsqu’il le fuit, Nikolaï ne le quitte jamais vraiment.

   
Naissance
Venu au monde dans le confort et l’intimité du domaine de Lautrec dans le Languedoc, fierté de la famille et loin de tout regard indiscret, loin de toute malveillance, surtout. Domesticité triée sur le volet, portail fermé, la même prudence qui présida à la venue de l’aîné. La vulnérabilité de l’instant est propice aux ambitions d’autres intrigants, toutes les précautions sont donc prises. Nourrisson s’époumonant, un 25 Décembre, à l’aube du sol invictus, doté d’une santé de fer, à moins que ce ne soit déjà le goût pour la vie.

   
Parents
Fils de Crepus et Demetra Lestrange, un couple parfaitement assorti tant dans leurs idéaux que dans l’intimité. C’est en tout cas l’image qu’ils donnent, même pour Auguste. Les brouilles et autres insatisfactions se règlent toujours en huis clos, chez les Lestranges, bien à l'abri de toute œillade intrusive et potentiellement mal intentionnée. Pour lui, son père reste cette austère figure, et cet esprit brillant leur enseignant tour à tour la bienséance, l’aisance mondaine si caractéristique de leur nom et l’esprit critique, savoir jauger des autres sans jamais se laisser draper d’une peau de banal mouton. Un homme capable d’accepter toutes leurs excentricités si tant est qu’elles bénéficient à leur nom ou leur enseigne quelque utile aptitude. Sa mère, socle inexpugnable de la famille, n’a finalement fait qu’enfoncer encore le clou, non sans distiller de sa morgue, eu égard à tant de ces paons étalant leurs atours pour faire oublier qu’ils sonnent creux au premier coup. Benjamin d’un trio brisé, endeuillé, Alaric partit trop tôt, laissant derrière lui le gouffre du manque à la hauteur de l’affection qu’il évoquait chez les autres, chez lui. Amputé de l’homme qui fut son modèle, là où leur père était sa mesure, l’affliction perdure comme un hiver persistant et il couve encore davantage son adelphe survivant et son neveu là où la discorde des aspirations royales l’éloigne de ses parents.

   
Nature du sang
Noblesse ronflante qu’ils cultivent depuis longtemps, dans le soin vétilleux de faire étinceler le fruit de leur labeur, minutieusement protégé du terme de parvenu qu’on eût pu tenté de leur accoler. Sang-Pur dont l’héritage se dévoile fièrement au sein du domaine de Lautrec, au cœur de la ferté de la famille, un jardin enchanté dans lequel pousse un merisier abritant en ses branches la généalogie originelle de leur parenté. La tradition, toute patinée d’orgueil et d’ambition, réfute aux porteurs de leur nom l’idée saugrenue de s’unir à plus humble qu’eux, un idéal exalté et plébiscité. Aux nombreuses rodomontades qu’elles ébauchent, Auguste garde les lèvres scellées sur une seule, brève question : si la noblesse importe tant, en quoi diffèrent-ils tous des moldus ?

   
Situation matrimoniale
Bachelor, phalange encore libre de toute alliance. Son statut de Benjamin le protégeât sans doute un temps des rigoureuses exigences filiales. Alaric convolant en justes noces, au bras de la déesse guerrière de Saïs, le regard paternel (ou bien était-ce sa mère ?) se tourna inexorablement vers lui. Lui, voguant les eaux troubles d’une attirance discordante, tiraillé entre son attente pour Nikolaï et sa frustration, son incompréhension à son égard. Lui, satisfait pour son frère aîné radieux d’épanouissement conjugal, jalousant honteusement son idylle mais plus encore sa liberté. Abjecte sensation chevillée au corps, contraint d’attendre l’homme qui occupe ses pensées, spectateur impuissant de ses machinations, toutes destinées à retarder son union tandis que lui, Auguste, feint l’amitié. Le décès d’Alaric n’a rien arrangé, moins encore l’annonce faite par la famille royale. Son père souhaite le voir épouser l’héritière des Valfor, sacrant ainsi durablement leur famille de ce dernier diamant esseulé se dérobant encore à la poigne d’airain de la lignée. Tout prêt à refuser, bien que lâchement attaché aux lambeaux de confort qu’il conservait, l’attitude timorée de Nikolaï vint nourrir le terreau fertile de ses doutes.
S'égare-t-il dans ses priorités ? L’avenir de sa famille ne devrait-elle pas primer, quant bien même il en serait personnellement dévasté ? Ou bien est-ce le système lui-même, vide de sens, qui mériterait d’être repensé ?

   
Occupation
Il se destinait, fut un temps, à la formation des tireurs d’élite, arguant que l’élitisme de l’institution ne pouvait nuire à la santé de l’héritier de rechange, briguant même dans sa naïveté la garde royale. Une façon comme une autre de rester proche de Nikolaï, une fois celui-ci chevillé aux Valfor, quand il était encore capable d’envisager avec sérénité une telle conclusion à leur relation, éternel second attendant les miettes. Une résignation qu’il vint lentement à ne plus tolérer et dont les vestiges volèrent en éclats devant ses hésitations. Il s’engagea dans la marine, voguant au gré des opportunités, mais toujours irrémédiablement appelé à retourner auprès de l’homme qui hantait ses pensées, ses allées et venues rythmées par leur relation et ses déboires, pour la plus grande incertitude de ses parents. La mort d’Alaric, voilà trois ans, lui coupe les ailes. Incapable d’abandonner son amour pour la mer, cependant, il travaille depuis trois ans à développer sa flotte comme armateur, y cherchant une certaine catharsis.

   
Scolarité
Beauxbâtons, l’académie de magie française où il effectua la totalité de sa scolarité, au sein de la faction de la nuit. Parcours exemplaire, à la hauteur des exigences filiales, longues heures passées à s’entraîner, physiquement comme mentalement, à explorer, profitant du havre de l’institution pour découvrir toujours plus d’horizons. Pour se lier, également,  déjà conscient du malléable de leur condition, moment parfaitement opportun pour sceller des liens durables qui ne demandent pas le partage des draps. Auguste en gardera un excellent souvenir, bien que teinté du doux-amer d’une profonde nostalgie. Loin des regards filiaux, il effleurait alors une liberté dont il ne prendrait pas conscience avant plusieurs années.

   
Composition baguette
Baguette en bois d’ébène, le grain lisse et satiné, au veinage à peine apparent, subtile nuancier à l’aune de ses humeurs. Cœur d’épine du monstre du fleuve blanc produisant des sortilèges puissants mais surtout élégants, une essence rare qu’il fut sans aucun doute flatté de recevoir. Sans ornements mais entretenue à la perfection, elle fait 29 centimètres et de nature souple, allant de pair avec l’évolution de sa vision du monde tout au long de sa lente maturation, loin des salles mondaines de la France sorcière. Il s’agit, en effet, de sa seconde baguette, la première ayant été brisée au cours d’une tempête en mer, par pur accident. Tout d’abord dévasté par cette perte qui, sommes toutes, n’augurait rien de bon pour sa première traversée, Auguste en vint à voir l’incident comme un signe, bien que brièvement gêné de cet élan superstitieux. Le navire mouillant alors sur les côtes américaines, Auguste consulta Thiago Quintana, l’un des fabricants du nouveau monde, plutôt que de rentrer à Paris si tôt.

   
Patronus
Il va sans dire que cet exercice magique restât longtemps pour lui stérile de toute réussite, quant bien même on lui eût assuré qu’il s’agissait d’un échec courant (et son interlocuteur d’alors eut sans doute sous-entendu que la profusion de magie noire produite par ses pères n’arrangeait rien, bien qu’Auguste eut choisi de ne pas l’adresser). Endoctriné à une fervente recherche de l’excellence, échouer restait alors profondément frustrant, voire honteux. Auguste ne comprit l’essence de cet échec qu’en ayant pour la première fois réussi à produire un patronus corporel, alors embarqué pour le nouveau monde. Oh, il avait certainement était heureux, auparavant, choyé par sa famille, doté par la nature, sociable… mais pas libre. Jamais réellement libre. Jusqu’à l’instant où il le fut, en haute mer, loin de tout continent. Une réalisation s’égrenant comme le deuil d’une étape de vie, la réalisation ne vint qu’au fil des jours, couronnée, en bout de course, par l’apparition du quetzal, symbole du fruit défendu qu’il venait de goûter, l’oiseau qui dépérit si on le garde en cage.

   
Epouvantard
Pensées intrusives et curiosité morbide n’ont jamais épargné, jeune, et lorsque leur professeur de défense contre les forces du mal présente la créature, elle prend pour lui les traits de quelque créature entrecroisée dans les cirques, l’esprit encore jeune et choyé dépourvu de relief. Une expérience plus récente, au cours de ses voyages, lui apprend qu’il prenait alors sa propre apparence, visage lisse de tout trait, mais paré des atours de la noblesse et du triomphe de sa lignée. Une projection sans équivoque de la profonde terreur que la perte de toute identité, de toute personnalité, au profit des seules aspirations des siens peut provoquer aux heures creuses où le sommeil tend à le fuir. L’existence sans réalisation aucune, n’être qu’un mort en sursis, avançant aveuglément sur le chemin pavé par autrui. Pire encore, s’illusionner d’y trouver quelconque plaisir.

   
Amortentia
Parfum de l’iode dans un vent frais et cinglant, engloutissant les sens, l’odeur du large, d’un élan sans retenue. Des notes de sable chaud et de monoï qui évoquent chez lui ses escales insulaires, la chaleur des épices enivrantes et quelques notes plus anciennes, troublantes réminiscences d’un savon sur une peau gorgée de soleil et tant aimée.

   
Particularité Magique
Aucune à l’heure présente mais il a, à plus d’une reprise, caressé la notion de devenir occlumens. D’abord, jeune, par soucis envers sa famille, puis par inquiétude et affection pour Nikolaï, pour lui offrir un support neutre sur lequel se reposer sans plus être noyé dans le typhon d’une psyché étrangère. Aujourd’hui, il considère son esprit comme sacré, son havre, son échappatoire, son lieu secret, où il conserve jalousement ce qu’il ne peut exprimer. Et il n’a aucune envie de voir ce bastion violé.

   

   
Atropos


   

Enfant choyé mais éternel second, il a vu son cocon éclater lorsqu’il s’engagea dans la marine, ballotté de déconvenue en découverte. Les onze années passées à voguer auront été témoins de ses nombreuses erreurs mais aussi des trésors d’expériences accumulées.
Du jeune homme ayant quitté Beauxbâtons, il reste sans doute cet amour contrarié, passion encore tue pour convenir aux attentes de leurs lignées. Il reste la curiosité, la passion d’apprendre et plus de patience qu’il n’est sain d’en prodiguer. Il reste également, bien sûr, les bonnes manières policées, le savoir être en société et le charme dosé, leçons familiales fort bien apprises.
De ses voyages, il a cultivé une profonde empathie, parfois contrariée, et un sang-froid venu patiner sa présence comme sa mise. Défait de tout mépris, c’est de dignité qu’il cherche à se parer, stoïque et neutre, ravalant le tumulte de ses trop nombreuses pensées qu’il distille et diffuse avec doigté et un soupçon de méfiance.  

Enfant choyé mais éternel second, il a vécu trop longtemps dans la naïve certitude de la présence de son frère aîné. La disparition de celui-ci demeure une blessure tendre qui débute tout juste sa cicatrisation. Auguste abandonna la mer pour endosser le rôle d’héritier, par sens du devoir, mais pas par résignation.
Tout d’abord hésitant et timoré, incapable d’entrer dans le moule laissé par Alaric, il en vint lentement à faire sien le titre et y imposer sa propre interprétation. Il se veut aujourd’hui un homme pragmatique, recherchant l’efficacité et la justesse de la pensée dans ses affaires quant bien même sa vie personnelle serait dévastée. C’est une certaine autorité qu’il a développée. L’esprit toujours critique, à la fois une vertu et un obstacle frustrant, il apprécie les résultats, y comprit s’il doit pour cela faire quelques sacrifices, personnels ou non. Les états d’âme des perdants ne comptent pas.

Enfant choyé mais éternel second, confortablement protégé par l’image filiale, il ne comprit que tardivement combien les relations humaines pouvaient être délétères, plus complexes que l’énigme d’un sphinx. Il s’avère désormais réservé, même avec ses proches, et là où la passion, l’abandon parviennent à conquérir quelque aspect de sa personne, dans la célébration de la vie, la profonde révérence envers la richesse de leur existence, il se tente de se soumettre à une tempérance pondérée.
Soucieux de ses proches, il se dévoue aisément à eux, préférant donner librement et ne reprendre qu’une fois, plutôt que de se garder indéfiniment. Et pourtant, en dépit de sa loyauté, il reste toujours une porte close, en lui. Toujours quelque chose à ravaler.

Homme fait, il a appris à assumer ses choix, bien que ses tempétueuses émotions grondent et griffent contre les cloisons qu’il s’est imposées. Trois ans, à les laisser s’infecter, conscience aiguë qu’il ne fait que retarder l’inévitable, s’il ne trouve pas un moyen de les exorciser. Il brûle toujours pour lui, et il craint de se consumer derrière les hautes murailles de ses silences inexpugnables.



   Que pensez vous des moldus, et du fait que vous soyez obligés de vous cacher d'eux au quotidien ? Des moldus Abreuvé de morgue et conforté dans sa supériorité à leur encontre, il n’en a pas moins toujours conservé par devers lui quelques sains doutes sur cette mégalomanie rampante. L’esprit critique, après tout, n’est pas là pour servir le discours eugénique de son père en dépit des souhaits de celui-ci. Digne lame à deux tranchants dont il se garde, cloisonnant ses idées au confort d’une rhétorique irréalisée.
Les moldus. Sang tout aussi carmin que le leur, les mêmes émotions, le même instinct animal policé par des millénaires de civilisation, des rêves semblables, et des coutumes comme des physiologies partagées, jusque dans les sels. Où est réellement la différence ? La Magie ? Peut-être. Mais elle n’a jamais été une garantie, ni de dignité, ni de valeur, ni de quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs.
Alors, quoi, en ce cas ? Il aimerait, parfois, retrouver son assurance passée, pouvoir de nouveau se réclamer de cet ineffable précieux que son entourage cultive avec tant d'aplomb.  

Du Secret Aucune certitude réclamée sur la question, bien que l’ambition paternelle soit clairement de rejoindre la marée toujours plus grondante des partisans de Grindelwald, un nom que le patriarche actuel ne semble pas répugner à associer au sien. Et si la domination du monde moldu aux doux accents de dictature éclairée fut l’idéal doré de sa jeunesse, sa mention le laisse aujourd’hui rétif et prudent. Il existe des arguments pour et des arguments contre, ce qui attise sa méfiance réside davantage dans la substance des esprits ayant conçu cette notion, ce mouvement, et ce qu’ils entendent tant par domination que par pouvoir supérieur. Son père aspire à de nouvelles opportunités d’accroître leur pouvoir, sa mère souhaite sans doute davantage d’agneaux à diriger… Rien qui soit ,pourtant, irréalisable au sein même du Secret.

   Quelle est votre opinion sur la famille royale magique de France ? Une potiche glorifiée, il n’y a pas d’autres mots pour la décrire. Cette opinion bien arrêtée ne date pas d’hier mais pour sa famille, pour son devoir, il était alors prêt à offrir tous les efforts pour y être rattaché d’une façon ou d’une autre. Après tout, cela fait bien longtemps que les Lestranges cherchent à mêler leur sang à celui des royaux. Et à défaut, les servir, dans l’intimité d’un conseil, ou d’une garde.
Auguste n’a jamais tout à fait saisi pourquoi Crepus préférait courir après le clinquant des couronnés plutôt que d’instaurer une présence filiale forte au sein du ministère des affaires magiques, par exemple. Avec la patience et la discipline ayant par le passé fait leur fortune, ils auraient pu verrouiller  durablement une influence de taille dans les cercles décisionnaires. Ou à défaut, étendre son empire économique. Et les royalistes, en ce cas ? Voilà déjà une ambition ayant plus de substance et un but pragmatique pour ceux ayant investi dans la couronne.
Ce serait cependant oublier le carcan dans lequel évoluent certainement ceux portant le nom de Valois. Naître pour vivre isolé, entouré et pourtant toujours hors de portée, regardé mais jamais vu, une toile blanche livrée aux projections de tout un chacun. Peut-être se méprend-t-il sur leur compte ? Mais en vérité, plus le temps passe et plus l’incertitude laisse place à l’amertume. L’existence même de la famille royale représente la montagne le punissant, sisyphe impénitent. Alors que sa patience s’élime, une notion lui revient, indécente et invasive, une notion qu’il cherche encore à taire et dissimuler.
Sans la famille royale, Nikolaï et lui ne seraient plus rivaux. Peut-être devrait-il simplement chercher à faire disparaître le problème ? Plus de royauté ou bien… une autre famille royale.

   L'Aube Sorcière prend de l'ampleur, et Tarek Shafiq fait très souvent la une des journaux. Que pensez vous de cet homme ? Merci de nous répondre, en quelques mots, à votre guise.
Pseudo & pronom Aerie - Elle/She/Her Faceclaim Gaspard Ulliel Crédit Tearsflight (avatar) + Midjourney (image 1) + Envoltoi (Avatar fiche) + Ashessaga (Gif 1) Comment as tu trouvé le forum Top Site + Arran :3 Souhait en cas de départ si vous quittez le forum, dites nous ce que vous souhaitez qu'il advienne de votre personnage.
   Loom of Fate | 2023